Une voyante à Toulouse avec sa boule de cristal
Que ce soit grâce à ses dons de magnétisme et de voyance pure ou aux sciences occultes, Princesse Esméralda ressent les « choses » ainsi que les énergies qui nous entourent. Ensuite, seule son expérience lui permet de transmettre des interprétations fiables aux personnes qui viennent la consulter. Unique médium issu des arts divinatoire qu’elle pratique, sa boule de cristal lui a été léguée par sa grand-mère. Elle s’en sert pour ses consultations par téléphone et dans son cabinet de Haute Garonne, à Toulouse.
CONSULTATIONS AU CABINET OU PAR TÉLÉPHONE
06 11 46 41 89
La boule de cristal : un legs familial
Pour plus de clarté et de précisions, Madame Esméralda aime particulièrement se servir ce médium divinatoire qu’est la boule de cristal. Celle qu’elle possède et dont elle se sert quotidiennement en consultation lui est particulièrement précieuse car elle lui vient de sa grand-mère qui s’en est servi pendant plus de 50 ans. Symbole de la pratique de l’art divinatoire dans les traditions gitanes, l’utilisation de la boule de cristal est attestée dès le Moyen Âge.
La cristallomancie en détail
La capacité à prédire l’avenir ou à percevoir des informations par la boule de cristal est appelée cristallomancie, du grec ancien krûstallos (glace, puis cristal) et de mantikê tékhnê qui désigne l’art de la divination. Symbole du monde de la voyance et de ses codes, c’est un outil de divination nécessitant une grande sensibilité de la part de celui ou celle qui la consulte. Cette pratique ancestrale aurait pour origine l’utilisation de surfaces lisses telles que l’eau puis le miroir en tant que sources de présage et symboles d’une porte s’ouvrant sur l’autre monde.
Le peuple gitan serait le premier à introduire la boule de cristal en Occident vers le XIe siècle, mais c’est seulement au XIIIe siècle qu’elle se trouve mentionnée en France. À cette époque, les boules sont en verre ou en cristal de roche, surmontant un pied en acier ou en bois. Parmi ses utilisateurs célèbres, on peut citer Catherine de Médicis ou encore Elisabeth Ière d’Angleterre.